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 C'est moi que voilà ! [Libre]

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Madyson H. SmithMadyson H. Smith
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Age du Personnage : 7 ans !
Métier : Future Apprentie de McKay
C'est moi que voilà ! [Libre] Vide
MessageSujet: C'est moi que voilà ! [Libre]   C'est moi que voilà ! [Libre] EmptyMar 19 Juin - 22:08

Assise tranquillement dans la salle de contrôle de la porte des étoiles, je regardais les gens qui s'activaient autour de moi. D'ici peu de temps j'allais passer ce grand cercle pour rejoindre mon père sur Atlantis. N'importe qui aurait été inquiet et excité mais moi je restais calme. Samantha avait été très gentille avec moi et m'avait expliquer le fonctionnement de la porte des étoiles et la possibilité de voyager sur d'autres planètes. C'était tout simplement extraordinaire ! Du haut de mes sept ans, j'allais pouvoir faire quelque chose qu'aucun terrien de mon âge avait fait. J'allais être la premier enfant terrienne à passer la porte ! C'était un jour à marquer d'une pierre blanche ! Moi je l'avais juste consigner dans le journal que Sam m'avait offert avant de partir. Elle avait une mission et avait rejoint son vaisseau, s'excusant de ne pouvoir être là lors de mon passage. J'avais été déçue mais je n'avais rien dit, déjà bien contente qu'une scientifique et militaire comme elle me consacre autant de temps.

Bientôt le général O'neil entra dans la pièce et me lança un clin d'oeil avant de se tourner vers le technicien s'occuper d'activer la porte. Depuis déjà pas loin d'une heure, je regardais tout le monde qui travaillait pour préparer la livraison de matériel, d'arme et de fournitures médicale pour Atlantis. C'était l'une des dernières livraisons avant que la cité doive se débrouiller par ses propres moyens. En effet, il avait été dit que seul l'arrivée de nouveaux membres sur la cité permettraient de livrer du matériel. Aujourd'hui, des nouveaux militaires allaient rejoindre la cité, ainsi que quelques scientifiques et ... Moi !

Le général venait de finir sa discution avec le chef de l'expédition puisqu'il venait de se tourner vers moi et de me tendre la main. Sortant de mes pensées, je bondis de ma chaise, attrapa mon sac à dos et le rejoignis tout en serrant les lèvres pour cacher ma légère appréhension et les battements désordonnés de mon coeur. D'ici peu de temps, j'allais revoir mon père. Comment avait-il pris la nouvelle de la mort de grand-père et grand-mère ? Et surtout comment avait-il pris le fait que je le rejoigne sur Atlantis ... Suivant Jack, je m'avançais vers la surface bleueté. Je ne devais pas avoir peur, mon corps allait juste être demolécularisé et refait à son arrivée. Oui c'était un jeu d'enfant. Et j'en étais une !

Levant les yeux vers le général qui venait de s'accroupir devant moi, je tenta de lui adresser un sourire même si j'étais stressée. Il me disait avoir confiance en moi et que j'allais tous les épater là-bas. Il déposa un baiser sur mon front avant de se lever et de reculer, me laissant le temps de passer quand je le désirais. Serrant les poings, je fixa mon regard droit devant moi, m'avança et ... me retrouva dans une nouvelle salle ! Le passage à travers le vortex avait été si rapide que j'en étais stupéfaite. Regardant autour de moi, je découvrais Atlantis pour la première fois. C'était immense, c'était beau, c'était ... remplis de monde qui se bousculait presuqe pour ranger tous les caisses qui venaient d'arriver. M'écartant de la porte, je cherchais mon père du regard mais malgré les nombreux militaires, je ne voyais pas celui que je devais appeler "papa". M'asseyant sur une marche, je me décida à attendre que quelqu'un vienne me chercher pour m'emmener dans mes quartiers parce que même si j'aimais découvrir, j'avais tout d'abord envie de poser mon sac à dos.
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avatarDr Rodney McKay
ScientifiqueScientifique

Messages : 295
Age du Personnage : 43 ans
Métier : Scientifique
C'est moi que voilà ! [Libre] Vide
MessageSujet: Re: C'est moi que voilà ! [Libre]   C'est moi que voilà ! [Libre] EmptyMar 10 Juil - 22:17






Il émit un grognement pour toute réponse, montrant ainsi son désaccord avec la théorie farfelue de Zelenka. Ah ! Ce pauvre Radek qui se prenait pour un homme doté d’un véritable Génie… Rodney admettait qu’il avait une certaine intelligence – il était, tout du moins, un peu plus débrouillard que tous les autres pseudo-scientifiques qui n’étaient, en réalité, qu’une belle bande d’incapables – mais il n’avait rien d’un Génie. Il n’était pas un surdoué, alors un Genius ! Tout le monde savait bien qu’il n’y avait qu’un seul et unique être supérieur – intelligemment parlant – sur l’ensemble de la Cité – et, poussons même le bouchon plus loin, de l’entière Galaxie – et que cette personne n’était autre que Rodney McKay. Le Grand Rodney McKay. Le Génialissime Rodney McKay. Le Sublime Rodney McKay. Le Superbe Rodney McKay. Le Fantastique Rodney McKay. Le Fabuleux Rodney McKay. Le…

« Eh bien allez-y. Exposez donc votre brillante théorie, puisque vous vous pensez si malin ! » gronda Radek, ôtant ses lunettes, comme pour provoquer Rodney. « A moins que vous n’en ayez pas… » ajouta-t-il avec son regard sournois que McKay détestait tant.


Tous les regards se tournèrent alors vers ce dernier, comme impatients. Oui. Bon. Là, le Brillant Scientifique devait admettre que Zelenka venait de marquer un point ; Rodney n’avait aucune idée géniale. Mais bien sûr, il n’était pas question de l’avouer devant tous ces sombres imbéciles. Il avait une réputation à préserver. Enfin, tout est relatif ; il avait, bien évidemment, une petite idée… Mais il lui fallait encore la développer, la vérifier grâce à des multiples calculs savants que seul lui était capable de mener à terme, l’exposer à ses soi-disant collègues et la leur faire comprendre… Cela faisait sans doute beaucoup à lui demander pour l’heure. Sans oublier qu’il commençait à avoir faim. Il ouvrit la bouche, une délicieuse réplique cinglante prête à être crachée à la figure du tchèque. Mais, alors qu’un premier son allait s’évertuer à quitter le confort de sa gorge, sa radio se mit à grésiller.

« Docteur Rodney, nous aurions besoin de votre aide dans la salle d’embarquement. La livraison en provenance de la Terre vient d’arriver, et vous devez…
Faire l’inventaire du matériel scientifique que j’ai fais demandé, merci, je sais. Je suis là depuis cinq ans, que croyez-vous ?! » gronda le scientifique, se tournant vers Zelenka. « Je vous laisse ici quelques minutes, le devoir m’appelle. Je compte sur vous pour ne rien faire exploser en mon absence. Et ne touchez à rien ! Et trouvez donc une solution ! Rendez-vous donc utile, pour une fois ! »

Et, sans attendre la moindre réponse, l’homme tourna les talons, ne retenant pas un fin sourire fier et satisfait ; il venait d’être sauver par le gong. Ou plutôt, par la livraison. Certes, devoir faire l’inventaire n’était pas une activité dans laquelle il prenait réellement son pied, mais c’était toujours mieux que d’admettre à Radek qu’il n’avait pas encore trouvé de théorie miracle sur leur problème d’équations pour essayer de comprendre les technologies récemment acquises grâce à leurs nouveaux alliés.

Il parvint difficilement à la salle d’embarquement, les couloirs étant d’ores et déjà obstrués par de nombreuses caisses, contenant le strict minimum dont ils pourraient avoir besoin. Le minimum vital même si, aux yeux de Rodney, il n’y avait pas de minimum lorsque la vie était en jeu. Surtout quand la sienne était en jeu, en fait. Enfin. Il finit donc par arriver à se glisser dans la précieuse salle, retrouvant, au passage, quelques anciens collègues revenus vivre sur la Cité par nostalgie – ou pas nécessité, tout dépendait – qu’il ignora royalement. Il devait faire un inventaire, et il n’avait aucunement l’intention de perdre de temps en bavardage. Faire l’inventaire le tiendrait occuper déjà quelques temps. Suffisamment pour qu’il puisse crier sur Zelenka dès son retour dans son laboratoire pour ne pas avoir avancé dans leurs recherches. A bien y réfléchir, peut-être aurait-il du demander à un militaire de surveiller chacun de ses faits et gestes… Bon, tant pis. Le mal était fait. Dans quel état allait-il retrouver son laboratoire ? Rodney l’ignorait.

Il enjamba quelques caisses, donnant sans doute quelques coups de genoux dans quelques têtes baissées au passage, lançait parfois un mot d’excuse par-dessus son épaule et atteint les caisses destinées au matériel scientifique. Il lança un rapide coup d’œil à l’intérieur, vérifiant ainsi qu’il n’y avait eu de mélange de caisses. Fort heureusement, non. Il s’adressa ensuite à un militaire – l’un de ceux qui étaient sur Atlantis pour faire office de plante verte ; Rodney ignorait son nom. Et Rodney connaissait la Cité comme sa poche… Enfin, presque – lui quémandant d’une voix sèche et sans appel de bien vouloir porter ces cinq caisses jusqu’à son bureau. Il n’ajouta pas le « mot magique » si souvent demander aux enfants – après, ce n’était qu’un militaire sans cervelle, il ne verrait pas la différence – et se lança à la recherche de Woosley. Quelques mots brefs furent échanger, simple formalité ; McKay se devait de prendre connaissance du prochain convoi et de la prochaine vague du Dédale. Il en profita pour lancer un coup d’œil circulaire dans la pièce, histoire d’avoir un aperçu des nouvelles têtes. Ca faisait du monde. Beaucoup de monde. Y en avait même qui le regardaient en biais et murmuraient entre eux. Eau froide pour eux. Il en vit qui ricanaient, les yeux rivés sur lui. Ah oui ? Ils voulaient jouer à cela ? Très bien ! Plus d’eau pendant une semaine ! Ils allaient voir qui allait s’amuser sur cette Cité. Non mais ! Un sourire carnassier effleura ses lèvres à cette simple idée. Il finit par remarquer qu’ils portaient la tenue des scientifiques et son sourire se fanât. Il allait devoir superviser ces petits cerveaux sans lumière ? Il ne retint pas un soupire exaspéré ; ils ne savaient plus faire le tri parmi les jeunots et les vrais scientifiques dotés d’une vraie intelligence – certes, ces derniers étaient rares, surtout sur Terre.

Et puis, alors que la salle se vidait peu à peu, Rodney ayant fait signe à ses nouvelles victimes de dégager le passage à coup de « Mais qu’est-ce que vous faîtes ? Zelenka penche sur un problème, vous feriez mieux d’aller l’aider plutôt que de rester planter ici ! » il repéra une petite boule repliée sur elle-même. Une créature humaine, de toute évidence. Une créature humaine et vraiment toute petite. Plissant les yeux pour essayer de mieux distinguer ses traits sans avoir à s’approcher de cette petite chose, Rodney s’aperçut bien vite qu’il s’agissait-là d’une enfant. Il fit alors un bond, se redressant vivement et se tournant vers Woosley.

« Une enfant ! Il y a une enfant sur la Cité ! Mais qui est l’irresponsable qui a fait venir une enfant dans cette galaxie ?! Je sais bien que l’objectif du CIS a quelque peu changé, mais tout de même ! La Galaxie de Pégase, et la Cité elle-même, est bien trop dangereuse pour qu’un marmot vienne tout perturber !
Docteur McKay, je suis l’irresponsable qui a accepté l’arrivée de cette enfant. Elle est, par ailleurs, la fille d’un de nos brillants militaires. De plus, il me semble que vous êtes là pour veiller à ce que rien n’arrive de grave, non ? » rétorqua Woosley, loin de se laisser démonter par le scientifique.

Ce dernier avait quelque peu pâlit et s’apprêtait à tourner les talons lorsque le chef de la Cité le rappela.

« Vous devriez aller la voir. Etant la personne qui connait le mieux la Cité, vous êtes aussi la personne la plus apte à la lui faire visiter. Et puis… Si je ne m’abuse, elle s’appelle Madyson, tout comme votre nièce, vous ne devriez pas avoir trop de mal avec elle. »

Il écarquilla grand les yeux. Lui, s’occuper d’une créature qui atteignait difficilement le mètre vingt ? Woosley devait être tombé sur la Terre lors de l’amerrissage dans la baie de San Francisco ! Il le dévisagea, mais le diplomate du CIS avait dit son dernier mot et était déjà retourné vaquer à quelques occupations dans son bureau. Faisant glisser ses chaussures sur le sol, Rodney se tourna en direction de la Porte. Là où se trouvait l’enfant. Il l’observa d’abord de loin. Assise sur une marche, elle semblait attendre quelqu’un. Et ce quelqu’un ne pouvait pas être lui. A moins qu’elle ne veuille parler E2PZ ou générateur à naquaddah. Dans ce cas, il était éventuellement possible qu’elle le connaisse et l’attende, mais, au vu de son jeune âge, c’était peu probable. Frottant machinalement son pouce contre lui indexe, il s’avança à grandes enjambées. Il s’arrêta à quelques pas d’elle, ne sachant pas vraiment quoi faire. Après tout, il n’avait jamais été doué avec les enfants, c’était bien connu.

Il était donc là, debout, devant elle, ne sachant pas comment l’aborder. Madyson avait dit Woosley. Maintenant qu’il la voyait de près, il se disait qu’elle devait avoir – plus ou moins – l’âge de la fille de sa sœur, Jeannie. Il ouvrit la bouche, levant la main comme si ce geste allait l’aider. Puis il soupira et, laissant retomber sa main mollement, il referma la bouche, préparant son demi-tour. Ce n’était pas à lui de s’occuper des gamins – et puis, des enfants sur la Cité ?! On aura tout vu ! aussi se dit-il qu’il ferait mieux de trouver le père de cette petite Minimoy et de retourner à son inventaire.


HJ:
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Madyson H. SmithMadyson H. Smith
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MessageSujet: Re: C'est moi que voilà ! [Libre]   C'est moi que voilà ! [Libre] EmptyMar 25 Sep - 9:07

HJ:

Regardant les membres de l'expédition, je me pris à les comparer à des fourmis vaquant à leur occupation sans se gêner, sachant parfaitement ce qu'ils avaient à faire. Ils avaient bien de la chance parce que moi, il n'y avait personne pour m'accueillir. A tout les coups, mon père était en mission et ne pouvait être là. Peut-être même avait-il fait exprès ! Après tout depuis le temps que je ne l'avais pas vu, nous étions deux inconnus l'un pour l'autre de quoi me faire un peu plus peur. Mais non que dis-je ! Je n'avais pas peur jusqu'à présent, j'adorais l'aventure donc j'allais me lever d'ici et partir explorer la cité. Peut-être que je rencontrerais un haut gradé qui pourra m'indiquer l'endroit où j'allais dormir. Sam avait pris le temps de me montrer les photos des personnes à connaitre sur Atlantis. D'abord Richard Woolsey, le chef de l'expédition, après le chef de la sécurité puis l'équipe SGA-1, apparemment l'équipe la plus importante de la base. J'avais hâte de rencontrer chacun des membres et de les interroger, quoique Ronon me faisait un peu peur sur la photo que j'avais vue ...

Poussant un long soupir, je remarqua un homme qui enjambait les caisses, ne se souciant pas le moindre du monde de bousculer les autres. Je mis rapidement un nom sur son visage pour avoir été curieuse de son travail. C'était un scientifique, d'après Sam, le plus doué qu'elle connaissait et si je voulais vraiment devenir aussi scientifique comme je lui avais dit, il allait falloir que je fasse sa connaissance. Le regardant s'approcher de moi, je vis de suite qu'il n'était pas à l'aise. Je lui adressa un sourire avant de me lever pour paraitre moins ... petite.

Bonjour, docteur McKay. C'est vous qui allait m'emmener à mes quartiers ?

J'étais contente de me souvenir de son nom et d'avoir appris quelques termes pour parler correctement sur la cité. Mais étant assez douée, ça n'avait été guère difficile. Ramassant mon sac à dos, je le posa sur mon épaule avant de lui prendre la main sans lui demander son avis. Lui adressant de nouveau un sourire, je me lança dans ma première série de questions.

C'est vrai que vous êtes le responsable du département de recherches sur Atlantis ? Je pourrais visiter vos laboratoires ? Je pourrais vous regarder travailler pour apprendre ? Moi aussi je veux devenir scientifique plus tard !

Me souvenant du papier que Sam m'avait donné à l'attention de McKay, je le sortis de ma poche et le lui tendit. D'après ce qu'elle m'avait dit, elle avait fait une lettre me concernant expliquant la raison de ma présence, le niveau de mes études (bien plus élevé que les enfants de mon âge) et elle lui demandait de prendre soin de moi étant devenue en quelque sorte sa chouchoute. J'attendis patiemment qu'il prenne connaissance de ses "instructions". Je ne voulais surtout pas qu'il me trouve trop ... gamine, je voulais lui prouver que du haut de mes sept ans, j'étais bien plus mûre qu'une autre et que j'avais ma place ici.
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