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 I belive I can fly

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avatarAlexandra E. Valentyne

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Métier : Major de l'United States Marines Corps
I belive I can fly Vide
MessageSujet: I belive I can fly   I belive I can fly EmptyMar 17 Juil - 15:18


SHEPPARD et VALENTYNE
❝ And you make me work so we can work to work it out ❞ MICHAEL BUBLE © LJ


    Perdue. Elle était sur la Cité depuis… Une petite vingtaine de minutes, et elle était perdue. Il fallait bien avouer que tous les couloirs se ressemblaient. Bon, d’accord ; on lui avait proposé de la mener dans ses quartiers, mais elle avait refusé tout net. L’exploration, c’était son truc. Et puis, elle finirait bien par retrouver la salle d’embarquement. Elle ne pouvait pas être si perdue que ça… Finalement lasse d’avancer à l’aveuglette, elle finit par s’arrêter, poussant un profond soupire, lançant un regard à sa montre. Vingt-trois minutes qu’elle était dans cette Galaxie et elle la détestait déjà. Etait-ce seulement imaginable ? Poings sur les hanches, sa langue passant sur ses dents, le regard menaçant, la jeune femme fit un tour sur elle-même. D’après ce qu’elle avait crût comprendre, ceux qui avaient bâtit cette Cité étaient des être « supérieurs » dont le savoir était « véritablement important pour nous » ; en tout cas, pour êtres soi-disant dotés d’une superbe intelligence, ils auraient au moins put avoir l’intelligence de faire des couloirs différents. Histoire de s’y retrouver un peu. De nouveau, elle fit un tour sur elle-même, passa une main dans ses cheveux coupés courts, vit une porte ouverte. Elle lança un regard autour d’elle, ne vit personne, haussa les épaules, entra. Que risquait-elle ? Elle était armée, savait se battre et… Au pire des cas, elle mourrait avant d’avoir rencontré quelqu’un ; la belle affaire.

    Elle avançait lentement, craignait sans doute qu’un Goa’uld ou un Ori ne se jette soudainement sur elle. Ces bestioles-là, ça ne prévient pas vraiment lorsque ça vous attaque. Toutes ses craintes s’envolèrent soudainement lorsque des grosses boîtes de conserves à la forme étrange s’offrirent à elle. Ecarquillant les yeux, la grand entr’ouverte, Alex s’avança, leva la tête, observant la pièce avec minutie. Elle avait l’impression de se retrouver sur une autre planète – ce qui était, théoriquement, le cas, de s’être téléportée à ce qui se rapprochait le plus de… Eh bien, du Paradis ! Ayant toujours fait preuve d’une certaine curiosité, la militaire s’était un peu informée avant de venir vivre sur Atlantis ; si ce qu’elle avait entendu était vrai, elle se trouvait dans le hangar à jumper (pourquoi un tel nom ? Boîte de conserve aurait largement suffit… A la rigueur, pourquoi pas planeur, pour que ça fasse un peu plus professionnel… Mais jumper…). Les… véhicules – à défaut d’autres termes – permettraient aux équipes de traverser la Porte des Etoiles et de visiter les planètes encore inexplorées. Elle trouvait cette idée plus qu’alléchante. Sportive, elle aimait marcher, mais devait bien avouer qu’elle aimait tester de nouvelles choses. Et le vol faisait parti de ses priorités. Elle n’avait jamais volé. Du moins, dans les airs. Elle avait bien du voler quelques p’tites babioles au marché quand elle était plus petite. Oh, et puis il y avait, bien sûr, le collier qu’elle avait dérobé à Patricia Malkovich, une bourgeoise que la cadette des Valentyne n’avait jamais pu voir en peinture. Ca n’avait jamais été sans conséquence, mais Alexandra devait admettre que ça l’avait bien amusée.

    La main tendue, le Major effleura la surface d’un des jumpers du bout des doigts, comme si elle avait peur de les érafler. Ca avait l’air d’être plutôt solide. Les yeux brillants, plusieurs idées lui vinrent à l’esprit ; les mettant de côté pour l’instant, elle se promit de faire des tests dès que possible – c’est-à-dire, dès sa première mission qui, elle l’espérait, ne tarderait pas trop.
    « Je me demande si ça survivrait à une explosion… »

    Elle avait lâché cette phrase à voix haute, d’un ton pensif. Les yeux rivés sur le jumper, elle entreprit d’en faire le tour, cherchant un moyen pour pénétrer et voir comment c’était, de l’intérieur. C’est à ce moment qu’elle entendit des bruits de pas, la mettant instinctivement sur ses gardes. Par réflexe, elle posa délicatement sa main sur l’arme à sa ceinture, l’oreille aux aguets. Elle aurait put demander si quelqu’un était là, mais elle ne le fit pas. Pourquoi ? Allez savoir. Lentement, sur ses gardes, elle avança, sortit son arme, juste au cas où. Et puis elle trouva la source des pas. Arme braquée devant elle, prête à tirer, elle s’aperçut de sa mégarde bien vite. Aussitôt, elle abaissa son arme, le regard noir.
    « Colonel, je vous avais pris pour… Oh, peu importe. »
    Elle n’était pas quelqu’un de très courtois. Pas plus qu’elle n’était pas sans savoir que son supérieur n’était autre que le Colonel Sheppard dont elle avait d’ores et déjà entendu parler. Ce n’était que des bruits de couloir qui lui étaient parvenus, des « on dit » qui l’avait fait bien apprécié l’homme. Il était un peu comme elle, en peut-être plus respectueux. Elle avait aussi appris qu’il avait désobéit à des ordres directs à plus d’une reprise. En ça, elle était plus ou moins certaine qu’ils allaient bien s’entendre. Elle se mit au garde à vous, comme le voulait la coutume, se tenant droite, les yeux rivés sur son supérieur. Il ne le savait sans doute pas, mais ce simple geste était une preuve de l’admiration que lui portait la jeune femme. Elle n’avait pas pour habitude de vraiment bien saluer ses supérieurs.
    « Major Valentyne. »
    Une présentation ? Très probablement inutile ; il était son supérieur, il avait forcément lu son rapport. Et s’il ne l’avait pas fait, grand bien lui faisait… Quoique, ce n’était pas certain ; il n’allait sans doute pas sauter de joie en découvrant le caractère un peu particulier de la jeune femme.
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avatarJohn Shepp
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MessageSujet: Re: I belive I can fly   I belive I can fly EmptyLun 3 Sep - 13:12



Une journée dans la vie de John Sheppard. C’était une aventure de chaque instant. Du moins pour lui qui avait tellement l’habitude des missions secrètes. Ne vivait il pas l’une des plus grandes de ce siècle? Georges Lucas et Star War n’avait qu’à bien se tenir. Dark Vador risquait de rencontrer son maitre. Non je ne pensais pas à John Sheppard. Il aurait fais un bien mauvais Jedi et serait tombé depuis longtemps du coté obscure de la force. Quant à savoir qui était le maitre de Dark Vador… impossible de le savoir, c’était une façon de dire que le samouraï jedi risquait de connaître pire que le sénateur Palpatine dans la Galaxie de Pégase. A savoir si un Wraith était capable de battre un seigneur Sith. Les paris étaient ouvert!
Sheppard regardant le plafond de sa chambre, allongé sur son lit. Hier soir il s’était fait une partie de Clone Wars et le contexte lui était un peu monté à la tête. Heureusement pour nous il n’y avait pas de jeux consoles sur Star Treck ou Ronon allait être rebaptisé Spock. Quoi que l’ancien Jaffa Teal’c pouvait postuler pour le rôle. Sans doute John devait il arrêter tout simplement de jouer sur console.

Les musiques de Johnny Cash passaient en boucle sur la chaine stéréo qu’il avait ramené. Son pied battait le rythme tandis que sa tête bougeait en accord avec la guitare et qu’il chantait les paroles qu’il connaissait quasiment par cœur. Il ne manquait plus que le chapeau de cowboy et la guitare acoustique pour parfaire cela. Sans oublier le brin de paille dans la bouche. Et en fermant les yeux il se serait cru au Texas dans un bon Western. Voilà un bon rêve dans lequel le militaire aurait bien voulu se retrouver. Chevauchant librement sur son cheval, un lasso au dessus de sa tête. La rêverie ne dura pas. Woolsey venait de le contacter par radio pour avoir un p’tit éclairage sur un détail du rapport de sa dernière mission. Cela ne pouvait pas attendre? Il avait déjà du passez un bon moment enfermé dans le labo de Mckay pas plus tard que hier… Nous sérieusement vous y croyez vous? Une histoire de fou, pas la peine d’y revenir dessus, cela lui rappelait l’escalade périlleuse de la tour centrale de la cité.

Dans un soupire, le militaire se leva et coupa la musique avant de sortir de sa chambre et de saluer les soldats qu’il croisait. La cité lui laissait découvrir quelques nouvelles têtes. Sheppard évita bien de passer par le labo de McKay, il l’avait suffisamment vu pour le reste de la semaine. Il arriva rapidement à la salle d’embarquement et monta prestement les marches menant au bureau de Woolsey. Il était là, le nez dans des dossiers. La porte s’ouvrit à l’arriver du chef de SGA-1. Le commandant de l’expédition leva alors la tête. « Ha Colonel vous voilà. »
S’en suivit alors une discussion pour éclaircir différents points du rapport. Sincèrement ces administratifs… Ils étaient payés pour brasser de l’air. Non pas que Sheppard n’appréciait pas Woolsey, mais décidément, quelqu’un lui en voulait en ce moment! Un indice? Tout le monde pouvait lui en vouloir au moins une fois sur la cité. Oui le militaire était du genre à trainer partout, à poser des questions bêtes pour passer pour plus idiot qu’il ne l’était. En définitif il avait du en agacer plus d’un et mettre à bout les patiences les plus endurantes. McKay étant le plus facile à mettre en rogne… Mais trêve de bavardage. Il était debout devant le commandant de l’expédition Atlantis - une pensée pour Weir - à lui expliquer le pourquoi du comment. Ah vraiment ce n’était pas lui qui irait écrire guerre et paix! Richard - oui Sheppard ce permettait cette folie - était un homme parfois un peu trop pointilleux sur les détails. Le gradé risquait de lui sortir une réplique sur le Yorkshire s’il le cherchait un peu trop sur des choses insignifiantes. Il ne voulait pas des dessins explicatifs non plus? Parce qu’à part les bonhommes bâtons… le Colonel n’était pas un artiste. Voilà d’ailleurs qu’il s’imaginait représenter son équipe en bonhommes bâtons. Cet enfantillage pris fin assez vite car Woolsey n’avait plus besoin de lui. John le salua alors et quitta le bureau, attendant que la porte se referme pour pousser un soupire. A présent il fallait tuer le temps.

Sheppard écarta l’idée de passer par les laboratoires. Pour rester dans son état d’esprit présent, il avait besoin de quelque chose pour lui faire oublier cette passionnante aventure bureaucratique. La meilleure solution? Aller faire un tour au hangar à Jumper pour se rappeler la première fois ou il avait découvert ces pots de yaourt. Il se rappela alors du nom sur lequel McKay et Ford c’étaient accordés la première fois : Vaisseau des étoiles. Non mais qui pouvait trouver un truc aussi nul? Il ne fallait pas nier que le militaire était plus doué pour donner un nom aux choses et aux Wraiths. Sans faire de liste. Les Wraiths pouvaient rentrer dans la catégorie Chose? Il ne fallait pas être scientifique pour voir qu’ils ne ressemblaient à rien. Bon d’accord rien était un grand mot, mais plus moche tu meurs!
C’est alors qu’il vit une arme pointer sur lui. Haussant son sourcil droit il resta regarder un instant la personne qui lui pointait un calibre 9mm sur le nez. Il regarda autour de lui pour voir s’il n’avait pas pris la mauvaise direction pour atterrir dans un univers parallèle. Non à première vu il était bel et bien arrivé dans le hangar à Jumper. Alors pourquoi cette arme? Mais la mésaventure ne dura en réalité que quelque seconde avant que la jeune femme devant lui ne baisse son arme. Il ne se souvenait pas d’avoir vu une réaction pareil depuis… depuis… La mémoire lui manquait sur le sujet. Le malaise passé le Colonel reconnu le Major nouvellement débarqué de la Terre. « Repos Major » Valentyne… Oui il avait lu ce dossier il n’y avait pas longtemps encore. Une tête bruler accros à l’explosif. Elle avait de quoi s’amuser avec tous les vaisseaux ruches qui courraient dans la galaxie. Toutefois s’il y avait une prière à faire chaque soir… c’était qu’elle ne fasse pas sauter la cité à coup de C4. On lui avait parlé du Naquadah enrichi? Si c’était non… alors il fallait le lui cacher impérativement. « Vous vous êtes perdu Major? » demanda Sheppard avec un air de bon samaritain volant au secours d’une pyromane en quête d’une nouvelle cible. Cela dit elle ne devait pas avoir de C4 avec elle… quoi que pour plus de sécurité il fallait peut-être lui donner de la pate à modeler non? Uniquement hors mission. Pour éviter les accidents. Gérer les stocks d’explosifs. Enfin l’empêcher de mettre à mal les nerfs de tout le monde et surtout de Rodney qui risquait fort de faire une crise de nerf si on commençait à lui casser sa précieuse cité. Quant à savoir si Sheppard avait peur… Non pas vraiment en faite mais comme à chaque fois ça lui retombait sur le dos. Il y avait suffisamment de lui à faire des conneries. Peut-être qu’elle était son double féminin?
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